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LE T...

Le T…

Je n’en peux plus. Autant j’aime parler du Q, autant je déteste la lettre T. Elle prend beaucoup trop de place dans mon langage. Je me sens envahi par le T. Harcelé par le T, Le T me fait peur. Il me handicape parce que tous les jours un valide dit T, et moi j’en ai soupé des T au riz, les T au rem, les théocrates. Les Théophiles, (oui, c’est comme les zoophiles, T à poil).

Et avec son copain le H ils sont partout. Dans les pubs, HT, HT, HT. Moi qui vous parle, J’ai encore avalé deux T hier. Je n’en ferai pas un fromage, mais c’est un con T.

On veut aussi nous le vendre en bocal. Vous allez me dire, mais là, y’a pas de T ! Mais si Empoté… Alors ? Je me pose une question existentielle ? Terrine ou pâté ? Ce qui est sûr, c’est que le T, si on ne savait pas si c’est du lard ou du cochon, on a la preuve maintenant qu’il est en porc T… ou du moins dans son bocal en verre, apparent T.

Un jour je lui ai dis : T ! C’est de ta faute si je ne picole plus en cachette, (parce qu' avant j’aimais bien boire un verre en solitaire). Mais bien sûr, le T nia. Ça Fait mal au ventre…

Non ! Le T est partout. Tiens ! Ma femme a même lu,,, T russe à quelque part.

Il se cache aussi dans d’autres lettres de l’alphabet. Faites gaffe ! Moi je l’ai vu en B, T. C’est embêtant. Mon banquier l’a retrouvé en D, T. Quand ils sont deux, ils se mettent en RTT. Sur un tandem en,,, VTT. Y’en a même qui comme moi, l’ont au cul,,, l’ T... Et il a la tête dure le gaillard, Il parait même que le T tue. L’affaire T, Bernard, c’est connu.

Et ça ne date pas d’hier. Il m’a nargué dès ma naissance. Des que j’ai pleuré, ma mère m’a fait TT, audi,,, au, au, dire de mon père… Et avec ses deux T tons. Et vas-y, allez T…

Alors, forcement, j’y ai pris goût. Mais cette fois, avec une jeune dame, sur l’oreiller. Impossible, dans le plumard, y’a deux taies, c’est plus un plan Q, c’est un plan T de mon bâton vers le bas. Pourtant, pas farouche la donzelle, elle me sustentait. (J’en suis pas fier de celle-là), ça vire en T t’aqueux. Vous voyez que je suis envahi par les T.

Les rares fois ou j’ai apprécié les T, c’était au printemps, avec Thérèse. Elle au moins elle rigole… Elle m’a dit qu’elle l’avait aussi fréquenté, mais qu’il n’était pas à son goût T, et qu’elle n’en ferait pas son 4 heures. On a parlé de son ex T rieur, qu’elle souffrait de l’avoir aimé. Alors je lui ai répondu : Quelle folie, prends un cachet, t’aimais c’tas ?

Et puis de fil en aiguille, elle a quittée son Tergal, s’est déculottée. C’est culotté quand même !!! Elle m’a demandé de faire pareil et me voyant nu, elle a pointé du doigt un endroit important pour moi et m’a dit ! Ouah ! Quel dur T, je le reconnais, tu es bien mon T. Ah ! Ben, ça me la coupé, net. S’approprier T, je ne pouvais plus l’habiter… Elle me confondait avec un autre qui était Ali T.

Alors, Pour oublier, je suis allé au bistrot. Le serveur : Comme d’habitude, un T t'anisé ? De peur, je dis oui, je m’énerve, et le T trisse. Hé ! Rigolez pas, C’est pas un jeu… Et là, y’a un mec qui entre, y m’ regarde de travers, et y m’ dit : Tequila ? Je me suis pas laissé faire, je lui ai répondu : Moi c’est moi et toi, Tais toi ! Mais avec du doigt T.

Le serveur, me dit : T’inquiètes pas, T bien plus que lui. Lui, c’est qu’un T moins. Ce mec est hanté, un T rible. Il sort sans arrêt de la prison sans T, et crie tout le temps, libère T. Un pauvre gosse des 6 T. Un sans dents quoi. Enfin ! Édenté… Édenté, Édenté !!! Et dans T, il y a deux barreaux quand même. Alors je suis rentré chez moi à 4 pattes, tu parles, je marchais comme un crapaud. Faut dire qu’il était tard…

Parce que chez moi aussi je suis harcelé par les T. Ah ! Si ! Si ! Les T au logis. J’y croyais pas bien sûr. Et ben, aujourd’hui, parole d’évangile, il est toujours là T. On peut dire que c’est un cas T…

Alors là, je dis non ! Pas chez moi, je lui ai dit : Sors de l’appart T. (Ne rigole pas lecteur, chez toi aussi tu l’as, même si ta maison te dit le contraire, ne l’écoutes pas, l’appartement)…

J’vous dis, Je n’en peux plus. Je deviens fou. Tiens, J’écoute de la musique et vlan ! Ténor. Je vais à Roland-Garros, t’es pas Paris, Tennis. A l’école, dans l’amphi T âtre. Tu te coupes avec un couteau, t’es pas tanné, Tétanos, toujours à l’affut T.

Au foot, terrain. A l’hôpital, tes reins, à Strasbourg, t’es Rhin, adultérin, tu bosses, t’es éreinté. T’es jeune, testostérone, t’es vieux, testament, et sur terre, T? Rien...

Une sale T, on ne connait même pas son sexe mais c’est pas une fille, c’est sûr, c’est un gars T. Un dur. On croirait qu’il s’est fait en bois T. Même pas moyen de lui faire une bise au T. Il prend tout de travers ! Je ne peux plus le sentir. Il m’incommode, ce T odore.

J’vous dis, Je deviens fou. Alors pour en finir, je me suis mis à genoux, et je l’ai supplié : Accorde-moi s’il te plait le droit de paix T.

A.S.

LE T...
LE T...LE T...
Tag(s) : #HUMOUR
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